Peut-on vraiment ne pas ouvrir les camps de jour municipaux ?
Structure de jeux d'enfants

Peut-on vraiment ne pas ouvrir les camps de jour municipaux ?

Source: C’est au cours des prochains jours que de nombreuses municipalités décideront du sort de leur programme estival de camp de jour.

Le camp de jour servant souvent de passerelle entre la fin et le début des classes, les décisions probables de réduire le nombre de places disponibles, voire d’annuler des services entiers, dicteront le rythme de vie de nombreuses familles. On tend à oublier qu’au Québec, près de 200 000 jeunes de 5 à 14 ans fréquentent les camps de jour. C’est ainsi l’été d’un jeune sur quatre qui est en jeu. (Cliquez pour lire l’article au complet)

Marc-André Lavigne

MARC-ANDRÉ LAVIGNE
DIRECTEUR DE L’OBSERVATOIRE QUÉBÉCOIS DU LOISIR ET PROFESSEUR À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À TROIS-RIVIÈRES (UQTR)

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